13e Festival de la Dive Musique: "Le coeur a ses raisons" à Seuilly

Pour sa 13e édition, La Dive Musique s’intéressera aux affaires du cœur… et ses raisons ! En musique. La voix sera particulièrement à l’honneur, mais aussi, pour la première fois, la danse… Euterpe et Terpsichore, muses de la musique et de la danse, nous enchanteront cet été (du 17 au 22 août). Promis !

Stéphane Béchy, le directeur artistique du Festival, nous propose de partager son amour pour la musique ancienne, miroir des sentiments de nos ancêtres du Grand Siècle, avec une nouveauté : la danse, sœur inséparable de la musique de cette époque. La barre est haute, mais le Festival du pays de Rabelais devrait satisfaire et ravir les oreilles les plus exigeantes. Le programme, nous permettra de retrouver, en ouverture, le grand orgue de Notre-Dame de Nantilly (17/08, Saumur) dans un « Dialogue de l’âme et du cœur » avec Bach et Piazzolla par le grand organiste hollandais Aart Bergwerff. La soprano Ingrid Perruche et Daniel Isoir, au pianoforte, évoqueront les « Plaisirs d’amour » dans le cadre idéal du Manoir de la Grand’Cour (18/08, Seuilly, diner sur place sur réservation). Quant à la Lyre d’Orphée, elle se penchera sur « l’âme de l’Homme, semblable à l’eau » sous les sages voûtes de l’église Saint-Pierre de Seuilly (20/08). C’est l’Ensemble Jacques Moderne, sous la direction de Joël Suhubiette, qui investira la belle collégiale de Candes-Saint-Martin (21/08) pour « nous parler d’amour »… tant divin qu’humain ! C’est la Compagnie de l’Aune, qui aura le plaisir de clore la 13e édition de la Dive Musique, à l’Abbaye de Seuilly (22 août), avec Euterpe, Terpsichore et « la « Royale »… ou la vie d’une femme au Grand Siècle ».

La Dive Musique a pour objectif de créer une émulation autour de la musique ancienne et baroque et de permettre ainsi au plus grand nombre de venir la découvrir… et l’aimer ! Elle œuvre au cœur du pays de Rabelais. Son « épicentre » est à Seuilly, village natal du grand écrivain. Chaque année, le festival investit des lieux de patrimoine, publics et privés, intimes comme le manoir de La Grand’Cour à Seuilly ou grandioses comme la collégiale de Candes-Saint-Martin.